Voici le premier article de cette série. Je publie pas mal de photos sur ma page facebook, celles postées ici seront un peu différentes. Il faut encore que je prenne un peu mes marques entre les 2, mais je pense qu’on va arriver à quelque chose de bien 🙂 En gros, sur facebook je partage plutôt les aléas de la vie quotidienne, tandis qu’ici je traiterai plus des paysages traversés.
Pour le première semaine, peu de kilomètres ont été parcourus. Je vous montrerai donc surtout les vélos de quelques participants, en tout subjectivité. La semaine prochaine, on rentrera dans le vif du sujet 😉
Voici une vue d’ensemble du camp à l’arrivée du prologue, dont les participant vont petit à petit quitter les lieux au fur et à mesure que ceux du Sun Trip Europe arrivent.
Vue classique: Pour maximiser la production en fin de journée, les propriétaires des vélos dont les panneaux ne basculent pas trouvent tous les moyens pour incliner leur monture. Qui peut aussi servir de penderie 🙂
Arrivée du premier vélomobile, engins que tout le monde aura à l’oeil cette année. Légers et hyper profilés, ils permettent de tenir une très bonne moyenne avec peu d’énergie. Par contre, il faudra voir leur fiabilité sur la durée et les mauvaises routes que l’on risque de rencontrer. Ici, celui d’Emile Barbut.
Le vélo de Raf van Hulle, vainqueur de l’édition 2018. Sur base d’un tandem Hase Pino dont la place du passager avant a été supprimée pour laisser place à un panneau. Remarquez la boite Pinion dans le pédalier, ce qui permet d’avoir une transmission quasi infaillible, se limitant à une courroie et une roue libre.
Le même en version classique, utilisé par Valérie et Bertrand Nerincx.
Le vélo au look le plus cool du plateau. Un low-rider modifié par son (non moins cool) propriétaire Fred Koch, avec un moteur-pédalier Bafang. Léger, mais avec une surface de panneau réduite, une solution totalement opposée à la mienne 🙂
Le Douze Cycles d’Arnaud Roulland, un montage très propre aussi avec une boite Pinion et un moteur roue RH212. Et des sacoches sur mesure by Marion & Quentin pour le détail de finition ultime 🙂
And, last but not least, le vélo du maître Bernard Cauquil! Ici, pas de transmission classique: on pédale sur une dynamo qui recharge la batterie, et le moteur transmet la puissance au moyeux 14 vitesses Rolhoff situé dans la roue avant par l’intermédiaire d’une courroie, la deuxième permettant la régénération (recharge via le frein moteur dans les descente). Le tout avec des panneaux qui cherchent automatiquement la bonne inclinaison afin de maximiser la production, c’est le top!
Voilà, j’espère que ces quelques explications vous ont plu. Ce que j’aime beaucoup dans cette épreuve, c’est la diversité des machines. Pour un amateur tel que moi, c’est un vrai bonheur à voir 🙂
A bientôt!
